HOW CAN I RESIST YOU
AÄGRID & SHEANIED

Hier j'ai mit pied à terre pour retrouver ma femme. Par malchance pour moi, je l'ai trouvé à l'hôpital. Croyez-moi, ce fut plus que dure. J'en avais eu mal à la poitrine. Je n'aurais jamais été capable de la perdre pour de bon. Si jamais elle avait perdu la vie dans cette attaque, si j'avais perdu la mienne lors de mon accident... j'aurais tout perdu. Tout. Mon amour, ma femme, ma vie, ma raison de vivre... Je l'aimais... Je l'aime et peu importe ce qui arrivera, je l'aimerai toujours... Aujourd'hui, nous rentions à la maison. la veille j'étais aller porté ma moto à la maison et avait prit la voiture pour revenir à l'hôpital. J'avais passé la nuit à ses côtés. Assit sur cette chaise ma main dans la sienne ma tête contre son lit. Je n'avais pas vraiment dormi. Je n 'avais pas vraiment réussit a fermer l'oeil. Je la regardais dormir, elle était si belle... Elle l'est encore, malgré ce qu'elle porte au visage... J'avais réussis a dormir quelques heures... trois tout au plus. À mon réveille, je n'étais tellement vivable, mais je n'étais pas bête non-plus. Aujourd'hui, je ramenais Aägrid à la maison. Je ne voulais pas repartir. J'avais donc prit Sabbatique pour resté auprès d'elle. Il fallait tout de même que je travailles. Depuis quelques heures, l'armée m'avait trouvé un poste à la police du coin. Je commençais le lendemain de sa sortie.

Dans la voiture, j'avais envie de dormir, mais je réussissais a resté éveillé. Il le fallait bien, j'étais un volant. Je devais garder les yeux grands ouverts. Je ne voulais pas avoir un accident... Un autre... Ce serait trop. Croyez-moi, j'avais la chaire de poule... J'avais les deux main sur le volant. Depuis mon accident je n'avais pas retouché à une voiture. Vous voulez savoir pourquoi ? Et bien c'est simple... Je revoyais mon frère mort sur le sol... une balle dans le crâne. Même qu'encore j'ai ses images qui me parcours l'esprit lorsque je suis sur la route. Aägrid se trouvait à mes côtés sur le siège passager. J'eu un sourire la voyant les yeux clos et ramenai mon regard sur la route laissant glisser une larme ou deux sur ma joue. À une lumière rouge, je fermai les yeux serrant les dents avant de balancer ma tête vers l'arrière sans pour autant essuyer la larme qui caressait ma joue. Un coup de Klaxon me fit sortir de mes pensers et à bien croire avait sortis Aägrid de son sommeil. Je lui fit un semblant de sourire avant d'appuyer sa tête contre sa vitre. Je lâchai le volant de ma main gauche pour appuyer ma tête contre ma main. Mon coude prit place sur le rebord de la vitre et je pris la direction de la maison sans broncher ou sans dire un mot.

Cela prit quelque minutes avant que nous atteignons la maison. J'allai me garrer dans l'entrée avant d'arrêter le moteur. Je pris un élan et sortit rapidement de la voiture me ruant de l'autre côté. Je pris en main la poigner de portière et ouvrit tel un gentleman la porte à ma douce. Je lui tendis ensuite la main pour l'aider à sortir. J'arquai un sourire et refermai la portière l'entrainant vers la porte de la maison. Je m'arrêtai un instant pour fermer ma porte et vérouillé à l'aide de la manette à distance. Je retournai auprès de ma femme glissant doucement ma main autour de sa taille avec grande délicatesse. Je lui ouvris la porte la laissant entré et la suivit de près. « Et voila ma douce... On est rentré... »

Il n’y a pas plus important que l’amour. L’amour c’est l’oxygène, l’amour est enfant de bohème. L’amour nous élève. All you need is love ! Quand j'ai regardé ce film pour la première fois, je ne m'imaginais pas à quel point il pouvait avoir raison sur ce qu'il dit sur l'amour. Nul n'est plus beau que d'aimer en retour. Moulin Rouge. J'avais treize ans, et tout de suite j'étais tombée sous le charme de l'ésthétisme de ce film. Il y avait en lui quelque chose de magique. J'envihais Satine d'avoir trouver son amour à elle, celui pour qui elle aurait voulu mourir et qui aurait fait de même pour lui. J'avais peur de ne jamais trouver le mien, de ne jamais le connaître. Et pourtant, je l'ai connu, et encore aujourd'hui je vis avec. Je suis mariée avec cet homme depuis deux ans, et je sors avec depuis que trois. Dans notre histoire, je suis la Satine, et lui il est mon Christian. Cependant, j'ai commis une erreur. Une de celles qui sont impardonable, surtout si on aime la personne qui nous fait subir cela. Je l'ai trompé. J'ai trompé mon mari car il était porté disparu, et déclaré mort. Je l'ai trompé avec mon premier et seul amour à sens unique de lycée, Blythe. Et aujourd'hui, je suis totalement perdue. Quoi qu'il en soit, hier je me suis réveillée comme dans un rêve, des douleurs dans le dos et sur le visage en plus qui me prouvaient que je n'étais pas au paradis. C'était dans une chambre d'hôpital, après mon agression. Je m'étais fait enlever et martyriser comme personne ne le devrait, bien que quatre autre filles y aient eu droit avant moi. Bilan : deux côtes cassées, sûrement duent à des coups très violents qui m'ont été porté, des lacérations pleins le dos, certaines plus profondes que d'autres d'après l'avis du médecin, et causée par un assez grand couteau, mais aussi de nombreuses cicatrices au niveau du cou et du visage. Mais bizarrement, à mon réveille, je ne sentais guère la douleur. C'est sûrement ça que l'on appelle la 'magie de la morphine'. D'ailleurs, je suis prête à témoigner de l'effet ultra-bénéfique que ça apporte au mal. Certes, un effet très appaisant mais aussi temporaire. Quoi qu'il en soit, j'ouvris les yeux sans souffrir. C'est une main qui me sortit de mon sommeil commateux, celle de Red, mon meilleur ami. Il devait s'en vouloir de m'avoir laisser rentrer seule, comme ça. Mais il ne devait pas se sentir coupable. Quoi qu'il en soit, c'était avec un sourire aimable, bien que quelque peu timide, que j'ai été accueillie de nouveau dans le 'monde des vivants'. Et puis, j'ai eu le droit à la visite traditionnelle du médecin. Blablabla, quelques séquelles, blablabla. Et surtout la grosse et traditionnelle erreur des gens en ce moment : mademoiselle Dawson. Et a chaque fois, je devais répéter : non monsieur/madame, c'est madame Harvey. Et puis, une heure après sa première visite, le médecin entra de nouveau dans la pièce, déclarant que quelqu'un voulait me voir. Je le regardais d'un air interrogateur, et mon coeur failli louper un battement lorsque je vis, passant par la porte de ma chambre, le visage de Sheanied. Je n'arrivais pas à y croire, je pensais que c'était les effets des calements et des anti-douleurs, mais pas du tout. Et je le vis aux expressions de mon meilleur ami ou de l'homme en blouse blanche. Red s'était levé, comme s'il voulait me laisser seule avec Shean ou alors comme si il lui en voulait de quelque chose. Dans tous les cas, mon mari était désormais près de moi.
Lorsque je me suis réveillée ce matin, j'ai pu apperçevoir Sheanied entre de dormir, ma main dans la sienne, la tête sur mon lit. Je lui ai carresser les cheveux et j'ai attendu qu'il se réveille, me rendormant à mon tour sans y prendre garde. Et puis, l'heure de partir arriva. J'ai pris mes clics et mes clacs et Sheanied m'emmena dans la voiture. Je tombais de fatigue, à la fois à cause des émotions fortes, et également à cause de l'effet des calements. Je ne pu m'empêcher de me rendormir dans la voiture après avoir lutter encore et encore pour ne pas laisser le sommeil s'emparrer de moi. Mais c'était peine perdue, c'était limite si je n'allais pas m'effondrer en me levant. Cependant, sur la route, un coup de klaxon me réveilla, et je ne mit un certain temps à réaliser que j'étais dans la voiture avec mon mari à mes côtés. Je me tournai vers lui et lui fit un petit sourire en coin sur ma mine fatiguée et surtout vraiment, mais vraiment bien amochée. Qui que ce soit qui m'ai fait ça, il ne m'a pas loupé ce salopio. Enfin. Il ne nous fallut que quelques minutes pour retrouver notre chez nous. Personne, pendant l'absence de Shean, n'avait dormi dans notre lit. Pas même moi. Je ne voulais pas que son odeur s'efface de nos draps et qu'ils prennent la mienne. J'avais donc fait du salon et de la salle de bains les deux seules pièces dans lesquelles je vivais. Je considérais le fait d'aller dans une autre comme une trahison. Quoi qu'il en soit, Sheanied sorti le premier de la voiture, vint m'ouvrir la porte, m'aida à m'en sortir et m'ammena jusqu'au pallier de notre maison, tel un vrai gentleman. Puis, il retourna à sa voiture pour la fermer à clef et me revint. Il déverrouilla la porte, me prit avec douceur par la taille et me fit rentrer. J'avais un sourire idiot accroché à mes lèvres et surtout une folle envie d'embrasser l'homme qui se tenait derrière moi. D'ailleurs, je ne me gênai pas et, après mettre retournée dans un geste rapide, je le saisis par le cou, enroulant mes bras autour de ce dernier et je déposai mes lèvres contre les siennes, me mordillant, entre deux baisers, celle qui était la lèvre inférieure.[/color] »

HOW CAN I RESIST YOU
AÄGRID & SHEANIED

underco. j'averti ce sera pas super xD