« Dans la vie on n'a qu'un seul grand amour et tous ceux qui précèdent sont des amours de rodage et tous ceux qui suivent sont des amours de rattrapage. ▬ Et l'amour qu'est ce qu'on en fait ? » « Très surfait. Sur un plan biochimique, tu arrives au même résultat en mangeant deux ou trois tablettes de chocolat »

« Je hais ta façon de me parler et la couleur de tes cheveux. Je hais ta façon de conduire et de me regarder dans les yeux. Je hais tes stupides bottes d’armée et ce que tu devines en moi. Je te hais au point d’en crever et même de te tuer parfois. Je hais ta façon d’avoir raison, tes histoires inventées. Je te hais quand tu me fais rire, d’avantage quand tu me fais pleurer. Je te hais quand tu n’es pas là et que tu es dieu sait où mais je hais surtout de ne pas te haïr. Ni un seul instant, ni une seule minute,ni même du tout »

« Je hais ta façon de me parler et la couleur de tes cheveux. Je hais ta façon de conduire et de me regarder dans les yeux. Je hais tes stupides bottes d’armée et ce que tu devines en moi. Je te hais au point d’en crever et même de te tuer parfois. Je hais ta façon d’avoir raison, tes histoires inventées. Je te hais quand tu me fais rire, d’avantage quand tu me fais pleurer. Je te hais quand tu n’es pas là et que tu es dieu sait où mais je hais surtout de ne pas te haïr. Ni un seul instant, ni une seule minute,ni même du tout »

« d'accord c'est un sale con. d'accord il est crevé. d'accord je perds la boule et je crois qu'il cause. sauf que tout ceci n'empêche pas que cet enfoiré a parfaitement raison. » DWIGHT, SIN CITY

« Je hais ta façon de me parler et la couleur de tes cheveux. Je hais ta façon de conduire et de me regarder dans les yeux. Je hais tes stupides bottes d’armée et ce que tu devines en moi. Je te hais au point d’en crever et même de te tuer parfois. Je hais ta façon d’avoir raison, tes histoires inventées. Je te hais quand tu me fais rire, d’avantage quand tu me fais pleurer. Je te hais quand tu n’es pas là et que tu es dieu sait où mais je hais surtout de ne pas te haïr. Ni un seul instant, ni une seule minute,ni même du tout »

« Je hais ta façon de me parler et la couleur de tes cheveux. Je hais ta façon de conduire et de me regarder dans les yeux. Je hais tes stupides bottes d’armée et ce que tu devines en moi. Je te hais au point d’en crever et même de te tuer parfois. Je hais ta façon d’avoir raison, tes histoires inventées. Je te hais quand tu me fais rire, d’avantage quand tu me fais pleurer. Je te hais quand tu n’es pas là et que tu es dieu sait où mais je hais surtout de ne pas te haïr. Ni un seul instant, ni une seule minute,ni même du tout »

Qui vous êtes est qui vous êtes. Nous sommes des menteurs. Nous sommes des voleurs. Nous sommes des drogués. On prend notre bonheur comme acquis jusqu'à ce qu'on se fasse du mal ou qu'on blesse quelqu'un d'autre. Nous sommes rancuniers. Et une fois face à nos erreurs, nous réinventons le passé. Nous nous réinventons. Du moins, nous essayons. Nous sommes fiers et en proie à la luxure et nous sommes pleins de défauts. Et finalement, nos défauts nous rattrapent.

Qui vous êtes est qui vous êtes. Nous sommes des menteurs. Nous sommes des voleurs. Nous sommes des drogués. On prend notre bonheur comme acquis jusqu'à ce qu'on se fasse du mal ou qu'on blesse quelqu'un d'autre. Nous sommes rancuniers. Et une fois face à nos erreurs, nous réinventons le passé. Nous nous réinventons. Du moins, nous essayons. Nous sommes fiers et en proie à la luxure et nous sommes pleins de défauts. Et finalement, nos défauts nous rattrapent.

« d'accord c'est un sale con. d'accord il est crevé. d'accord je perds la boule et je crois qu'il cause. sauf que tout ceci n'empêche pas que cet enfoiré a parfaitement raison. » DWIGHT, SIN CITY

« Je hais ta façon de me parler et la couleur de tes cheveux. Je hais ta façon de conduire et de me regarder dans les yeux. Je hais tes stupides bottes d’armée et ce que tu devines en moi. Je te hais au point d’en crever et même de te tuer parfois. Je hais ta façon d’avoir raison, tes histoires inventées. Je te hais quand tu me fais rire, d’avantage quand tu me fais pleurer. Je te hais quand tu n’es pas là et que tu es dieu sait où mais je hais surtout de ne pas te haïr. Ni un seul instant, ni une seule minute,ni même du tout »

« Je hais ta façon de me parler et la couleur de tes cheveux. Je hais ta façon de conduire et de me regarder dans les yeux. Je hais tes stupides bottes d’armée et ce que tu devines en moi. Je te hais au point d’en crever et même de te tuer parfois. Je hais ta façon d’avoir raison, tes histoires inventées. Je te hais quand tu me fais rire, d’avantage quand tu me fais pleurer. Je te hais quand tu n’es pas là et que tu es dieu sait où mais je hais surtout de ne pas te haïr. Ni un seul instant, ni une seule minute,ni même du tout »

« Je hais ta façon de me parler et la couleur de tes cheveux. Je hais ta façon de conduire et de me regarder dans les yeux. Je hais tes stupides bottes d’armée et ce que tu devines en moi. Je te hais au point d’en crever et même de te tuer parfois. Je hais ta façon d’avoir raison, tes histoires inventées. Je te hais quand tu me fais rire, d’avantage quand tu me fais pleurer. Je te hais quand tu n’es pas là et que tu es dieu sait où mais je hais surtout de ne pas te haïr. Ni un seul instant, ni une seule minute,ni même du tout »

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« d'accord c'est un sale con. d'accord il est crevé. d'accord je perds la boule et je crois qu'il cause. sauf que tout ceci n'empêche pas que cet enfoiré a parfaitement raison. » DWIGHT, SIN CITY